Le premier rassemblement des Amicales Gaullistes s’est tenu le samedi 28 novembre 2015, au Palais du Luxembourg, en présence de M. Gérard Larcher, Président du Sénat,
Le thème retenu pour cette journée était : « Le Gaullisme, une ambition permanente pour la France ».
Charles Guené, Président de l’Amicale et Bernard Murat, responsable des associations ont ouvert cette journée.
Frédérique Néau-Dufour, directrice du Centre européen du résistant déporté, situé sur le site de l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof, auteur de nombreux articles et de plusieurs livres, est ensuite intervenue, développant les points suivants :
La France, une nostalgie permanente du gaullisme
Le gaullisme : une vision ancrée dans le temps historique long
Le gaullisme : une pensée en action
Une pensée agissante.
Des échanges ont ensuite eu lieu entre les participants et les intervenants
Gérard Larcher, Président du Sénat, a conclu ce premier rassemblement, soulignant que :
« Ce qui fait du gaullisme une ambition permanente, c’est le refus du renoncement qui a ponctué notre Histoire ». «Cette ambition permanente ne doit pas être nostalgie mais tout au contraire s’inscrire dans l’avenir ».
« L’ambition permanente du gaullisme, c’est d’avoir une vision humaniste ! Lors d’une Conférence de presse au Palais de l’Elysée, en 1959, le Général de Gaulle déclare : « En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’Homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer».
C’est cette ambition qu’il nous revient de porter aujourd’hui. C’est à vous qu’il revient de transmettre cette flamme dans vos départements. Vous qui souvent depuis des décennies vous battez pour défendre l’œuvre et la mémoire du Général de Gaulle….Montrez que la France a vocation à être éternelle ! »
Consulter l’intervention de Bernard Murat, ancien sénateur de la Corrèze
Consulter l’intervention de Charles Guené, sénateur de la Haute-Marne, président de l’Amicale
Consulter l’intervention de Frédéric Néau-Dufour, historienne
Consulter l’intervention de Gérard Larcher, président du Sénat
